Une belle journée s’annonce, soleil et douceur sont au rendez-vous pour les douze randonneurs et randonneuses. Du parking, à l’entrée de la Thuile, sur la droite, en venant de Saint-Alban-Leysse, lieu dit Maison des chasseurs, nous nous dirigeons vers le centre-bourg et le lac. Nous longeons ce dernier et au point Sur le Lac, 900 m, direction le Col de Marocaz que nous suivons jusque l’Arbre Double, 932 m, puis jusqu’au point Vers le Belvédère, 980 m. Un petit aller-retour jusqu’à ce dernier pour bénéficier d’une vue plongeante sur le lac de la Thuille, telle une oasis bleue dans un océan de verdure, le tout magnifié sur un fond de toile bleue.
Revenant au point, Vers le Belvédère, nous reprenons notre cheminement en direction du col de Marocaz. Le sentier monte régulièrement jusque Sous le Mollard, 1042 m, que nous délaissons pour suivre toujours la même direction via Mollard de l’Oua, 1050 m, d’où nous profitons d’une jolie vue sur les Belledonnes. Nous suivons la piste forestière qui redescend lentement vers le Col de Marocaz croisant au passage des chenilles processionnaires à ne toucher que des yeux et encore derrière la mire de nos téléphones portables. Au col de Marocaz, 960 m, empruntant le premier sentier qui part sur la droite de la piste forestière, nous entamons les dénivelés du jour afin de rejoindre le col du Lindar. Ça grimpe sérieusement et régulièrement ! Ça ne parle plus dans les rangs, chacun et chacune, concentré sur son effort. Au col du Lindar, 1187 m, petite récupération et nous entamons la descente de retour. En cours de chemin, avisant un bel espace dégagé et ensoleillé, nous nous y arrêtons pour la pause-déjeuner. Celle-ci terminée, nous regagnons le Col de Marocaz duquel nous prenons la direction de Les Rongers du Lac, 881 m. Une dernière montée jusque Sur les Barriers, 980 m, et nous retournons au point de départ.
Une belle journée de randonnée sous un ciel radieux et un soleil resplendissant ce qui a rendu plus facile l’ascension des 650 m de D+ pour une distance de 12,75 km. Au retour, ça valait bien un stop rafraîchissant à Curienne.
Pascal V.